Brève - Un historien confirme le rôle du Premier Ministre dans la censure communiste

Le premier ministre socialiste Ferenc Gyurcsány n’en finit pas de faire la une des journaux. Depuis ses aveux maladroits, il est l’objet de toutes sortes de révélations. La dernière en date est l’œuvre de l’historien, Krisztián Ungváry. Ce dernier, qui écrit régulièrement pour le quotidien Élet és Irodalom (Vie et Littérature), affirme que le ministre était un représentant du KISz (Ligue des Jeunes Communistes) à l’université de Pécs dans les années 80. A ce titre, il aurait été chargé de faire taire un groupe d’activistes pacifistes répondant au nom de Dialógus, un rôle que le jeune Gyurcsány aurait refusé d’endosser complètement.